On a émis toutes sortes de théories concernant le surpoids et beaucoup d'entre elles aboutissent à des conclusions hasardeuses. On a bien un peu concédé le caractère psychologique de certaines rondeurs, mais peu se sont vraiment attardés à l'idée de causes plus biologiques.
Qu'en est-il vraiment ?
Si l'on raisonne en termes de survie, il faut bien admettre que beaucoup de nos comportements sont régis par elle. Que ce soient nos réflexes, nos scénarios de vie, nos relations sociales, familiales, affectives, tout est toujours régi par quelque chose qui nous appartient en propre mais qui n'est pas du domaine de la raison ou de la logique apparente.
Quand un animal, dans la nature, se sent en danger, il a deux moyens de vivre son conflit : soit il attaque, soit il fuit. Et si l'être humain, lui aussi, pour toutes sortes de raisons qui appartiennent à son histoire, à son passé, à son enfance, au vécu de ses parents, lui aussi devait choisir une manière de réagir. Et si l'embonpoint, voire le surpoids ou l'obésité n'étaient que l'expression d'une réaction d'attaque, d'affrontement, de protection. Cela voudrait dire que tout son comportement alimentaire, toute son approche de l'hygiène de vie seraient conditionnées par cet impératif besoin de se défendre.
Évidemment, le mécanisme est complexe, multifactoriel et ne rentre pas dans un schéma type qui siérait à tout le monde. Mais si l'on voulait bien s'aventurer un peu dans cette autre lecture du surpoids, on serait sans doute bien étonnés de voir à quel point elle correspond à ravir à nos histoires personnelles...
Ceci ne retire rien à la pertinence des investigations scientifiques sur les mécaniques physiques de l'embonpoint et les personnes qui, à cause de cela, sont en précarité vitale, se doivent d'absolument suivre l'avis médical qui leur est donné. Mais rien n'empêche de faire une lecture parallèle et de se donner la chance de résoudre ne serait-ce qu'une parcelle de nos conflits intérieurs et changer dès lors nos comportements alimentaires en même temps que nos comportements psychologiques puis biologiques...
C'est en tous cas la lecture que je vous propose. Elle est sans danger, juste exploratoire, mais peut faire ses preuves !
À propos de l'auteur :
Naturopathe et enseignante, je me passionne pour la gastronomie et la santé. Si nous sommes ce que nous mangeons, nous nous devons non seulement de savoir ce que contient notre nourriture, mais aussi ce dont notre organisme a besoin...
Fourni par ArticlesEnLigne : Articles gratuits et Communiqués de presse
Qu'en est-il vraiment ?
Si l'on raisonne en termes de survie, il faut bien admettre que beaucoup de nos comportements sont régis par elle. Que ce soient nos réflexes, nos scénarios de vie, nos relations sociales, familiales, affectives, tout est toujours régi par quelque chose qui nous appartient en propre mais qui n'est pas du domaine de la raison ou de la logique apparente.
Quand un animal, dans la nature, se sent en danger, il a deux moyens de vivre son conflit : soit il attaque, soit il fuit. Et si l'être humain, lui aussi, pour toutes sortes de raisons qui appartiennent à son histoire, à son passé, à son enfance, au vécu de ses parents, lui aussi devait choisir une manière de réagir. Et si l'embonpoint, voire le surpoids ou l'obésité n'étaient que l'expression d'une réaction d'attaque, d'affrontement, de protection. Cela voudrait dire que tout son comportement alimentaire, toute son approche de l'hygiène de vie seraient conditionnées par cet impératif besoin de se défendre.
Évidemment, le mécanisme est complexe, multifactoriel et ne rentre pas dans un schéma type qui siérait à tout le monde. Mais si l'on voulait bien s'aventurer un peu dans cette autre lecture du surpoids, on serait sans doute bien étonnés de voir à quel point elle correspond à ravir à nos histoires personnelles...
Ceci ne retire rien à la pertinence des investigations scientifiques sur les mécaniques physiques de l'embonpoint et les personnes qui, à cause de cela, sont en précarité vitale, se doivent d'absolument suivre l'avis médical qui leur est donné. Mais rien n'empêche de faire une lecture parallèle et de se donner la chance de résoudre ne serait-ce qu'une parcelle de nos conflits intérieurs et changer dès lors nos comportements alimentaires en même temps que nos comportements psychologiques puis biologiques...
C'est en tous cas la lecture que je vous propose. Elle est sans danger, juste exploratoire, mais peut faire ses preuves !
À propos de l'auteur :
Naturopathe et enseignante, je me passionne pour la gastronomie et la santé. Si nous sommes ce que nous mangeons, nous nous devons non seulement de savoir ce que contient notre nourriture, mais aussi ce dont notre organisme a besoin...
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