Tout a commencé, comme souvent, par une rencontre :
Envisageant une opération chirurgicale, j’ai rencontré le Docteur B., éminent et svelte chirurgien, internationalement reconnu, qui, au détour de la conversation me dit soudain :
- Combien pesez-vous ?
- Euh… 94 kg
- Quel poids faisiez-vous à 20 ans ?
- 72 kg, dis-je fièrement, et j’ai gardé ce poids jusqu’à 40 ans
- Eh bien, cela veut dire que depuis vos 40 ans, vous avez accumulé 22 kg de graisses inutiles !
Dur !
Je réalise brutalement que je m’étais habitué à l’idée qu’au-delà de 40 ans, le corps naturellement s’empâte…
Idée reçue ! Il n’y a rien de naturel dans cette prise de poids, seulement une accumulation de mauvaises habitudes !
« On est foutu, on mange trop…
On est foutu, on mange trop… » disait le poète dont la chanson résonne soudain en moi…
- Je vais vous faire prendre un RDV avec le Docteur F., médecin nutritionniste, et d’ici l’opération (prévue le 5 avril), je compte sur vous pour perdre au moins huit ou dix kilos.
- Huit devraient suffire ?
- Si vous en perdez plus de dix, ce sera encore mieux !
« On est foutu, on mange trop… »
Après tout, j’étais toujours très en forme quand je pesais 72 kg ; pourquoi ne pas essayer de retrouver « ma jeunesse ».
Cette perspective se présente comme un défi, et comme je n’ai pas l’habitude de refuser le combat, je décide de commencer dès le lendemain (Ce n’est pas de la procrastination, c’est simplement qu’il est 15 heures et que j’ai 400 km à faire pour rentrer chez moi), sans attendre le rendez-vous fixé avec le diététicien un mois plus tard, soit le 10 janvier.
Pourtant, nous sommes le 15 décembre et l’idée m’effleure que c’est sûrement la pire période pour commencer un régime :
- D’abord, parce qu’au mois de décembre, le corps a besoin de plus de calories pour « passer l’hiver », c’est bien connu,
- Ensuite, parce que je voie arriver les fêtes et que je me demande si je pourrai résister aux multiples tentations y afférant.
Puis je m’avise que :
- Avec mes 22 kg de graisse superflue, je dois avoir suffisamment de réserve pour passer l’hiver, sans en rajouter,
- Pour me donner quelques instants de plaisir à savourer du foie gras, une pauvre oie que je ne connais pas, mais ce n’est pas une raison, aura souffert pendant plusieurs semaines avant de finir sous le couteau de celui qui l’aura si amoureusement gavée et rendue malade.
Je décide de sauver la mère l’oie !
Et je repense à la fin de ma conversation avec le Docteur B. Une idée m’a traversé l’esprit que j’ai exprimée aussitôt :
- Si je reviens au poids de mes 40 ans, je pourrai peut-être supprimer tous les médicaments que j’avale chaque jour ?
Il faut dire que, jusqu’à 40 ans, je n’ai jamais été malade et ne me suis en conséquence jamais soigné ; mais quand j’ai commencé à « m’empâter », avec les kilos sont apparus les traitements divers et variés : D’abord le cholestérol, puis la tension, puis l’acide urique… Moi qui m’étonnais de voir les « petits vieux » sortir de la pharmacie avec des sacs remplis de médicaments, je me sentais devenir « petit vieux » à mon tour…
Alors quand le Professeur B. m’a demandé de maigrir, me faisant miroiter la possibilité de retrouver mes 20 ans (OK, mes 40, ce sera déjà pas mal !), la question a fusé :
- Si je reviens au poids de mes 40 ans, je pourrai peut-être supprimer tous les médicaments que j’avale chaque jour ?
- Euh, oui, peut-être…
Sa réponse n’était pas très assurée (C’est normal !) mais j’ai décidé qu’elle était franchement positive et j’ai eu l’illumination : Je vais maigrir, un peu pour faciliter l’opération qu’il va pratiquer sur moi début avril (Objectif contraint et quelque peu désespérant) mais surtout pour retrouver mes 40 ans et vivre sans les secours de confort de notre Etat-Providence (Objectif choisi et enthousiasmant).
Je confirme donc ma décision de commencer de suite à maigrir !
Bon ! Et par où je commence ?
Selon la bonne habitude que j’ai prise depuis longtemps, je décide de laisser fonctionner librement mon thalamus et je vais me coucher en étant convaincu que la solution m’apparaîtra évidente dès le lendemain matin.
C’est bien ce qui s'est produit (Le corps est une merveilleuse machine !) et c'est à partir de là que j'ai élaboré une méthode, ma méthode, que je vous livre dans le e-Book :
"Comment j’ai perdu dix kilos,Sans effort et sans frustration"
A découvrir à cette adresse : http://svelte-attitude.com/regime
Ayant maigri sans violenter mon corps, j'y ai pris plaisir et, surtout, je n'ai pas repris un gramme !
J'explique pourquoi sur mon blog http://svelte-attitude.blogspot.com
Jean-Claude Gouigoux
Envisageant une opération chirurgicale, j’ai rencontré le Docteur B., éminent et svelte chirurgien, internationalement reconnu, qui, au détour de la conversation me dit soudain :
- Combien pesez-vous ?
- Euh… 94 kg
- Quel poids faisiez-vous à 20 ans ?
- 72 kg, dis-je fièrement, et j’ai gardé ce poids jusqu’à 40 ans
- Eh bien, cela veut dire que depuis vos 40 ans, vous avez accumulé 22 kg de graisses inutiles !
Dur !
Je réalise brutalement que je m’étais habitué à l’idée qu’au-delà de 40 ans, le corps naturellement s’empâte…
Idée reçue ! Il n’y a rien de naturel dans cette prise de poids, seulement une accumulation de mauvaises habitudes !
« On est foutu, on mange trop…
On est foutu, on mange trop… » disait le poète dont la chanson résonne soudain en moi…
- Je vais vous faire prendre un RDV avec le Docteur F., médecin nutritionniste, et d’ici l’opération (prévue le 5 avril), je compte sur vous pour perdre au moins huit ou dix kilos.
- Huit devraient suffire ?
- Si vous en perdez plus de dix, ce sera encore mieux !
« On est foutu, on mange trop… »
Après tout, j’étais toujours très en forme quand je pesais 72 kg ; pourquoi ne pas essayer de retrouver « ma jeunesse ».
Cette perspective se présente comme un défi, et comme je n’ai pas l’habitude de refuser le combat, je décide de commencer dès le lendemain (Ce n’est pas de la procrastination, c’est simplement qu’il est 15 heures et que j’ai 400 km à faire pour rentrer chez moi), sans attendre le rendez-vous fixé avec le diététicien un mois plus tard, soit le 10 janvier.
Pourtant, nous sommes le 15 décembre et l’idée m’effleure que c’est sûrement la pire période pour commencer un régime :
- D’abord, parce qu’au mois de décembre, le corps a besoin de plus de calories pour « passer l’hiver », c’est bien connu,
- Ensuite, parce que je voie arriver les fêtes et que je me demande si je pourrai résister aux multiples tentations y afférant.
Puis je m’avise que :
- Avec mes 22 kg de graisse superflue, je dois avoir suffisamment de réserve pour passer l’hiver, sans en rajouter,
- Pour me donner quelques instants de plaisir à savourer du foie gras, une pauvre oie que je ne connais pas, mais ce n’est pas une raison, aura souffert pendant plusieurs semaines avant de finir sous le couteau de celui qui l’aura si amoureusement gavée et rendue malade.
Je décide de sauver la mère l’oie !
Et je repense à la fin de ma conversation avec le Docteur B. Une idée m’a traversé l’esprit que j’ai exprimée aussitôt :
- Si je reviens au poids de mes 40 ans, je pourrai peut-être supprimer tous les médicaments que j’avale chaque jour ?
Il faut dire que, jusqu’à 40 ans, je n’ai jamais été malade et ne me suis en conséquence jamais soigné ; mais quand j’ai commencé à « m’empâter », avec les kilos sont apparus les traitements divers et variés : D’abord le cholestérol, puis la tension, puis l’acide urique… Moi qui m’étonnais de voir les « petits vieux » sortir de la pharmacie avec des sacs remplis de médicaments, je me sentais devenir « petit vieux » à mon tour…
Alors quand le Professeur B. m’a demandé de maigrir, me faisant miroiter la possibilité de retrouver mes 20 ans (OK, mes 40, ce sera déjà pas mal !), la question a fusé :
- Si je reviens au poids de mes 40 ans, je pourrai peut-être supprimer tous les médicaments que j’avale chaque jour ?
- Euh, oui, peut-être…
Sa réponse n’était pas très assurée (C’est normal !) mais j’ai décidé qu’elle était franchement positive et j’ai eu l’illumination : Je vais maigrir, un peu pour faciliter l’opération qu’il va pratiquer sur moi début avril (Objectif contraint et quelque peu désespérant) mais surtout pour retrouver mes 40 ans et vivre sans les secours de confort de notre Etat-Providence (Objectif choisi et enthousiasmant).
Je confirme donc ma décision de commencer de suite à maigrir !
Bon ! Et par où je commence ?
Selon la bonne habitude que j’ai prise depuis longtemps, je décide de laisser fonctionner librement mon thalamus et je vais me coucher en étant convaincu que la solution m’apparaîtra évidente dès le lendemain matin.
C’est bien ce qui s'est produit (Le corps est une merveilleuse machine !) et c'est à partir de là que j'ai élaboré une méthode, ma méthode, que je vous livre dans le e-Book :
"Comment j’ai perdu dix kilos,Sans effort et sans frustration"
A découvrir à cette adresse : http://svelte-attitude.com/regime
Ayant maigri sans violenter mon corps, j'y ai pris plaisir et, surtout, je n'ai pas repris un gramme !
J'explique pourquoi sur mon blog http://svelte-attitude.blogspot.com
Jean-Claude Gouigoux